mardi 24 mars 2015

Lettre de résistance #Résister c'est prévenir

Les moqueries face aux défauts chez les jeunes


Cher Monsieur le ministre de l’Éducation Nationale,



Si je vous écris cette lettre, c'est pour vous parlez d'une chose, très importante qu'est le respect.Le respect, une des valeurs importante de notre patrie est réellement en déclin. Les jeunes environ de 5 à 18 ans sont la plupart des personnes victimes de ce qu'est l'oubli du respect. Ils critiquent leurs camarades et autres personnes, s'attaquant sur les défauts physiques ainsi qu'à la personnalité de ces personnes. Ils trouvent toujours une critique à faire par exemple sur leur poids, leurs déformations physiques etc..
Cela m'exaspère et me révolte car eux même ont probablement des défauts car comme dit le célèbre dicton : «Personne n'est parfait » mais c'est juste parce que ces mal appris, cette jeunesse pleine de provocations s'attaquent aux personnes dites faibles, qui ne peuvent pas répondre et qui éprouvent la peur. Tout homme est égaux, aucun au dessus des autres et que chacun aient le droit au respect. C'est la désobéissance de cette règle d'or qui met en colère. Étant moi même dans un milieu ou je fréquente des adolescents, je rencontre moi-même des personnes ayant affaires à ce problème et j'en ai par dessus tout marre de rencontrer ce problème.
Ce que j'aimerais, c'est que d'une certaine manière, on dresse ces personnes ou que tout simplement les insultes et les moqueries face aux autres s'arrêtent.Selon moi, il y a trois façons d'arriver à cela. Premièrement, il devrait en Éducation civique, dès le plus jeune âge, avoir des cours de sensibilisation et des interventions face à ce problème, cette discrimination.Je dis dès le plus jeune âge car le plus tôt sera le mieux. Ensuite, particulièrement dans les écoles, collèges et lycées, installer des caméras et des microphones et mettre à leurs commandes des CPE et des assistants d'éducation pour qu'ils interviennent immédiatement. La sanction apropriée serait une après-mdi en retenue suivi d'un travail forcé.La dernière solution serait tout simplement que ce soit les parents eux même qui les sanctionnent et leur expliquent que ce qu'ils font est mal. Merci de votre compréhension et j'espère vraiment que vous adhèrerez à ceci et que mon projet sera mis en place dès la semaine prochaine. Des nombreux professeurs et éducateurs comme moi sont dans mon cas et vous envoient des lettres de plainte face à ceci.

Mes sincères salutations, Monsieur le ministre de l’éducation Nationale, espérant que vous prendrez compte de cette lettre, mes sentiments et opinions.

Je vous prie d'accepter mes sincères salutations
Cordialement



M.Teby

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